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  • La route désenchantée
    Yellowknife de Rodrigue Jean

    La route désenchantée

    par André Habib

  • Autour de 9/11 de Jules et Gédeon Naudet

    Terrains battus : reconquête fictionnelle ou dommages au réel

    par André Habib

    La dialectique nous a appris, écoliers, que le vrai est toujours un moment du faux, et le faux, non moins, un moment du vrai. Cette dialectique, à la fois se vérifie et se contredit, chaque jour, suivant l’angle d’attaque et la lucidité de l’observateur, depuis que le “monde-vérité” a migré vers un autre système solaire, depuis, aussi, que la vérité est passée du discours (écrit, parlé) aux images mécaniques.

  • Baise-moi
    De la sexualité comme confession égotiste

    Baise-moi

    par Yannick Rolandeau

    “…Il faut bien comprendre qu’un film comme Baise-moi n’est pas né du jour au lendemain mais qu’il est le fruit complexe de plusieurs tendances qui ont travaillé la société depuis plusieurs dizaines d’années. Il serait trop long de rentrer dans les détails à ce sujet mais tentons néanmoins de comprendre succinctement les différents enjeux du film et ce qu’on y voit. Depuis quelques temps, des films revendiqués auteuristes montrent des scènes “explicites” d’actes sexuels. Ce qui était prévisible après mai 68 et de ce qui l’a précédé au début du XXe siècle avec l’avènement de ce qu’on a appelé le “modernisme” qui revendiquait révolution politique et propagande hédoniste, est arrivé…”

  • Entretien avec Peter Kubelka
    Autoportrait par la parole

    Entretien avec Peter Kubelka

    par André Habib, Frédérick Pelletier, Vincent Bouchard, et Simon Galiero

    “…Au terme de ces soirées denses, l’artiste viennois a cependant semé dans la tête des spectateurs – ainsi qu’à la rédaction d’Hors Champ – de nombreuses questions qui n’ont pas manqué de soulever des discussions et des prises de positions aussi radicales (et opposées) que celles proposées par Kubelka. Il nous semblait donc nécessaire de revenir clarifier certaines des affirmations de ce théoricien iconoclaste, mais aussi de prendre avis de l’état du cinéma, un art toujours “inachevé”. Nous avons rencontré Peter Kubelka à son hôtel où, bien calé dans son fauteuil au retour d’une brève excursion ethnologique chez les amérindiens Mohawk, il a poursuivit sur la même lancée qui l’avait animé pendant deux heures chaque soir…”

  • L'image qui marque
    Werner Herzog

    L’image qui marque

    par Nicolas Renaud

  • Notes pour un bref historique des Rendez-vous du cinéma québécois

    Une corrida québécoise

    par Réal La Rochelle

    “…Vue rétrospective contradictoire, à l’instar de ce cinéma qu’annuellement les Rendez-vous rassemblent, diffusent, nomment, interrogent. Un cinéma certes en croissance marquée, mais perpétuellement partagé entre, d’une part, ses visées de modeste et indépendante cinématographie des “auteurs” et de l’expression socio-culturelle plus personnelle ; d’autre part, ses ambitions de compétition nationale et internationale ainsi que ses rêves d’“oscarisations” possibles, générés par ce que l’on a nommé le “cinéma des producteurs et des PME audiovisuelles”…”

  • Aï Kitahara
    Scènes de surveillance au pays des merveilles

    Aï Kitahara

    par Isabelle Hersant

  • Un certain art du contre-champ
    The Man who wasn’t there

    Un certain art du contre-champ

    par André Habib

    “…Ce ne serait pas couper court de dire que le “vrai” devient, dans ce film, le contre-champ du faux. Mais puisqu’il arrive que le champ devienne, à son tour, contre-champ, le vrai pivote sur lui-même et devient une partie du faux. Le film nous présente une version mensongère du réel : stylisée, idéalisée visuellement. C’est précisément le réel des salles obscures, à l’âge d’or du Silver Screen. Il y aurait donc une constante suppléance, affichée, entre le vrai et le faux, entre le réel et la factice, dans un monde où le plus farfelu devient le plus vraisemblable…”

  • Porto de mon enfance
    Madeleines et fado

    Porto de mon enfance

    par Stéphane Regy

    “…Annoncé comme un “petit Oliveira” par la rumeur, Porto de mon enfance est plus sûrement une clé sans pareille pour pénétrer l’univers du cinéaste. Comme souvent chez le portugais, il suffit de suivre le titre pour se faire un idée juste de ce qu’on vient de voir ; Porto de mon enfance, ou l’évocation par le maître lui-même de sa naissance au monde, de sa ville, de son univers. Plus symboliquement, la tentative de retour au Port (la signification de Porto en Portugais) d’un aventurier parti trop longtemps…”

  • Du réel invisible
    Sous le ciel des affiches

    Du réel invisible

    par Guillaume Lafleur

    “…Lorsque Cruise, au début de Vanilla Sky, se retrouve en voiture dans un Time Square désert, je rêve au Paris réinventé de Minelli où l’on dévoilait la chimère d’une ville dans le carton des décors. Cela est passé de mode. On injecte du faux au réel sous des prétextes esthétiques qui cachent plutôt, entre autres, une peur de la collusion entre la réalité et le masque indélébile de l’acteur. Que serait un film en équipe réduite où Tom Cruise marcherait dans une ville ouverte, ferait son marché, prendrait le métro – tout ce qu’il ne fait probablement pas ?…”

  • L’effet de réalité

    Mimétisme des êtres humains dans l’environnement télévisuel

    par Nicolas Renaud

  • Notes brodées autour de Quelle heure est-il là-bas ?
    Tsai Ming-Liang

    Notes brodées autour de Quelle heure est-il là-bas ?

    par André Habib

    “…Quelle heure est-il là-bas ?, du réalisateur taiwanais Tsai Ming-Liang, s’affiche comme un film sur la mort du père. Le père du réalisateur est mort en 1992, et la mort du père de son acteur fétiche, Lee Keng-Shen, est survenue au cours du tournage de The Hole (1999). Son dernier film interroge et tente de surmonter la douleur que les deux hommes ont vécue, en proposant la chronique détournée d’une disparition par le biais d’une lente – bien que par moments hilarante – méditation sur le temps et la mort, sur le dépaysement et le retour, sur l’incommunicabilité et le hasard ?…”

  • Événement Kubelka
    {{Hors Champ}} et la {{Cinémathèque québécoise}} présentent

    Événement Kubelka

    par la rédaction

    “…À mi-chemin de son histoire, il s’est ouvert une brèche dans le développement du cinéma, une marge où s’est constituée en quelque sorte une deuxième genèse possible du médium filmique. Bien qu’il y eu plus tôt des précurseurs français – René Clair, Fernand Léger, Marcel Duchamp… – et bien sûr Vertov, c’est dans cette marge des années 50 et 60, aux États-Unis et plus à l’est en Europe, qu’est apparu un corpus d’oeuvres remarquable par sa variété, son ampleur et la force des expériences qu’il offrait…”

  • Entretien avec Stephen et Timothy Quay
    Brothers Quay : Le Détail

    Entretien avec Stephen et Timothy Quay

    par André Habib

    DEUXIÈME PARTIE

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