Texte hommage à Jonas Mekas, décédé le 23 janvier 2019.
Retour sur quelques films vus au Festival du nouveau cinéma 2018.
Retour sur quelques films vus au Festival Nouveau Cinéma 2018.
Retour sur quelques films vus au Festival du nouveau cinéma 2018.
Outre un héritage surréaliste évident, une filiation plus subtile peut venir à l’esprit. Unissant elles aussi le corps classique hollywoodien (un corps ici aussi exclusivement féminin) à toute une série d’images ou d’objets hétéroclites, les célèbres boîtes (sculptures, assemblages, collages, constructions, mémoriaux – les termes ne manquent pas pour qualifier ces travaux), construites par Joseph Cornell entre les années 30 et les années 50 proposent en effet une semblable réunion d’images ou d’objets composites.
« Le matin du 25 décembre, des gens respirent quelque chose du bonheur et ce butin précieux leur sort doucement des narines et de la bouche comme une boucane de locomotive. Sur le manteau craquant de l’hiver, les mains dans les poches, leur pas est généreux et pressé. Vous soupçonnez d’ailleurs avec raison que les énergies de la saison en pourvoient la cadence. Mais au-delà des apparences, en ce jour de Noël, à quoi pensent les gens ? »
J’écris après. Alors que déjà se dissipe le souvenir de ces nuits projetées. Que s’émousse ce qui était encore il y a quelques jours, quelques heures, saillant dans la mémoire. La précision de certains rythmes, sensations, bruits, non décantée, revenait simplement. Il faut désormais faire un peu d’effort.
Retour sur deux films du Festival Nouveau Cinéma par Sylvain Lavallée.
« La vie donne parfois au plus petit geste le retentissement d’une victoire. Et le cinéma a ceci d’émouvant qu’il restitue la densité de l’ordinaire en enregistrant cette profusion de signes presque imperceptibles qui en font l’étoffe. […] »
Pour retrouver les premières images en mouvement tournées au Liban, il faut probablement remonter à la fin du XIX siècle. Captées par Alexandre Promio et produites par Louis et Auguste Lumière en 1897, ces images nous montrent une vue inédite des souks de Beyrouth (Souk Abou-al-Nassahr) ou de la place des Canons avec ses piétons et ses voitures.
Entretien avec Jinane Dagher, productrice de films libanaise à Orjouane Productions.