Entretien avec Simon Lavoie et Mathieu Denis réalisé à l’occasion de la sortie de Ceux qui font les révolutions à moitié n’ont fait que se creuser un tombeau.
Par bien des côtés, chacun de ces films semble présenter des images figées ou suspendues dans une temporalité perdue ou en processus d’être recouverte. Plus encore, ces films sont animés par une tension entre l’immobilité et l’ouverture vers un futur indéterminé.
« I was the blue boy’s age when I saw a film crew for the first time. I waited with some other children for the filming to begin. Suddenly a van appeared, and a blonde man opened the van’s side-door and started shooting with a machine-gun. ‘That’s Chuck, Chuck Norris!’ Decades later, visiting London, I emerged from the hotel-room shower to see the blonde man still shooting from a van in Jaffa on the TV. »
L’expérience de la projection du long métrage « In the last days of the city » de Tamer El Said au Festival Nouveau Cinéma à Montréal en Octobre 2016
Analyse du plan-séquence d’ouverture du film Journal de campagne à la lumière de l’oeuvre de Gitai et de sa directrice photo / réalisatrice Nurith Aviv.
La fortune critique de Kippour (Amos Gitai, 2000) est liée au succès rencontré par une séquence en particulier. […] Sur les plans qui composent cette séquence, il semble que tout a été dit. Plus précisément, on constate qu’une interprétation du rapport de Gitai à la guerre de Kippour s’est imposée comme relevant du domaine de l’évidence. C’est précisément cette impression que cet article propose d’interroger.
Entretien avec Régine Robin (historienne et écrivaine) autour de Berlin-Jérusalem (Amos Gitai, 1989).
Entretien avec Nurith Aviv réalisé le 19 décembre 2015 à Paris.
Réflexion qui tente de cerner la problématique de la réception du cinéma israélien en Europe, et notamment en France, où je travaille depuis une dizaine d’années.
L’affaire Chebeya, un crime d’État? est un documentaire mettant en lumière l’assassinat d’un militant des droits de l’homme au Congo, Floribert Chebeya. Thierry Michel filme le pays et y poursuit une œuvre de mémoire et de mise en perspective de la réalité sociale congolaise depuis maintenant plus de vingt ans.