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Entretien avec Larry Clark
“ J’ai d’abord photographié ce qui était autour de moi; je me suis toujours demandé pourquoi on ne pouvait pas raconter certaines histoires, pourquoi certaines choses n’étaient jamais dites. Quand j’étais jeune, tout était supposé être très bien, il n’y avait supposément ni toxicomanie, ni alcoolisme, ni abus d’enfant. “
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Entretien avec Larry ClarkLes dessous idéologiques de Ken Park
Entretien avec le cinéaste Larry Clark.
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{La Bête lumineuse}, de Pierre PerraultStéphane-Albert et les viscères du monde
« Son entreprise témoigne de l’un des plus formidables actes de foi au cinéma, celui de croire en la révélation de la vie et de la réalité à travers des images, et par le fait même d’y voir là la plus grande difficulté. (…) C’est parce que le monde n’est pas immédiatement intelligible dans toute sa complexité que le cinéma peut devenir “moyen de lecture”. »
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La magie de Disney dans le hockey professionnelPixie du$t
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Jacques TatiPlaytime
« L’absurdité de ce réel est de constater que personne ou presque, au fond, ne souhaite vivre dans une telle société. Mais personne également n’a rien pu empêcher (…) une fois qu’elle est là, et ne pourra rien faire si un jour tout cela s’écroule. Notre liberté est aussi infinie qu’impuissante et inutile. La démocratie est devenue un pays où la liberté est réelle mais où celle-ci ne sert (presque) plus à rien. »
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Le cinéma de David LynchUn cauchemar climatisé
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Les maîtres du simulacre
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Les médias ne parlent que d’eux-mêmes
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{Confessions d’un capitaine}, d’Alexandre Sokourov
Les questions de l’âme
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À propos de Maurice Pialat (1925-2003)Avoir la peau du cinéma
« “Celui qui fout la merde” est celui par lequel la vie arrive, vraie de la vérité d’une révolte qui s’abîme sans cesse, mais qui reprend ses gestes, ses attitudes, jusqu’à toucher au sublime d’une compréhension qui s’affirme au-delà de la violence.»
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Les médias et la vitesse de l’histoire
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Hommage à Stan Barakhage (1933-2003)
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Dossier SnowEntrevues, entendues : une heure avec Michael Snow à Montréal
« J’ai réellement envie de faire des œuvres physiques, qui affectent le corps, de telle sorte que l’expérience est une véritable expérience, et n’engage pas seulement une saisie conceptuelle. »
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Dossier SnowPenser voir Snow
L’effet-Snow se situe précisément dans l’écart entre une expérience concrète, corporelle de l’œuvre et ses dimensions discursives ou conceptuelles, comme si le cercle ne parvenait jamais à se boucler tout à fait, et que l’oubli était intégralement lié à sa mise en mémoire.
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