La critique s’en est prise au FFM et à son directeur, mais personne n’est venu remettre en question le soutien que ce festival obtient de la part des institutions culturelles, privées et publiques.
Or, en se demandant ce qui permet à ce festival de tenir la route on verrait avec netteté se profiler les erreurs de formules, mais aussi les problèmes d’un système culturel plus grand qui le supporte et qui, lui, ne tient pas encore à voir le FFM disparaître.
“ J’ai d’abord photographié ce qui était autour de moi; je me suis toujours demandé pourquoi on ne pouvait pas raconter certaines histoires, pourquoi certaines choses n’étaient jamais dites. Quand j’étais jeune, tout était supposé être très bien, il n’y avait supposément ni toxicomanie, ni alcoolisme, ni abus d’enfant. “