Le magazine de cinéma 24 Images fête cette année son 30e anniversaire. Sur les trente années de vie de la revue, Marie-Claude Loiselle en a passé une vingtaine à titre de collaboratrice dont dix-sept à titre de rédactrice en chef, de 1992 à aujourd’hui. C’est dans ce contexte que Hors Champ lui a proposé de faire le point sur son parcours ainsi que sur l’évolution de sa vision de la critique comme du cinéma. Pour ce faire, nous lui avons fait parvenir une série de questions pour un entretien électronique.
Ce texte sur l’actualité d’André Bazin est paru dans le n° 142 de [24 images-> [url=http://www.revue24images.com/ ]]http://www.revue24images.com/][/url] (juin-juillet 2009), qui célébrait les 30 ans de la revue avec un dossier, vaste et riche, sur « L’amour du cinéma ». Nous le reproduisons ici avec l’aimable autorisation de Philippe Gajan et Marie-Claude Loiselle.
Du 11 novembre au 6 décembre 2008 était présentée à l’Espace Libre la pièce de théâtre de Pierre Lefebvre intitulée Lortie. L’intérêt que nous avons ressenti pour cette pièce, rejoignait des interrogations que nous partagions avec Philippe Despoix, professeur à l’Université de Montréal, sur les médias et la violence. Nous avons donc désiré proposer à nos lecteurs un dialogue entre la revue Hors champ, Philippe Despoix et Pierre Lefebvre.
La course aux cotes d’écoute qui oppose Star Académie à Tout le monde en parle est représentative à plus d’un titre des enjeux actuels de la télévision québécoise.
Entretien avec le cinéaste-documentariste Lech Kowalski à l’occasion de son passage à Montréal et du cycle que lui consacre, du 15 avril au 15 mai 2009, la Cinémathèque québécoise.
L’Office national du film du Canada a lancé en janvier 2009 son nouveau site internet, une plateforme de diffusion qui permet de visionner en ligne, gratuitement, près de 1000 films de sa collection…
Les vastes espaces naturels font évidemment partie des images emblématiques du Canada et occupent une place importante dans la collection de l’Office national du film. Mais au-delà des panoramas spectaculaires, des cinéastes se sont intéressés au rapport des hommes avec la nature, à travers leur mode de vie, leurs connaissances, leur langage et leur imaginaire.
Il est manifeste qu’une des choses que l’homme ne fait naturellement pas en public, c’est bien de copuler ou de faire l’amour et que cette activité privée est bien, par contre, le garant que l’homme acquiert le statut de civilisé, qu’il a un réel plaisir personnel sans la complaisance d’un public-miroir. Le jour où l’on sera parvenu à montrer un phallus et un vagin communiquant ardemment en gros plan sans être au moins troublé, on pourra se féliciter d’avoir éradiqué la sexualité humaine.
Le film – ambitieux, techniquement très accompli, bien interprété, vraiment réussi dans sa première demi-heure grâce notamment à des effets de contraste saisissants – souffre d’un défaut majeur qui atténue sa force : l’imagerie.
Avec Burn After Reading, les frères Coen continuent d’opérer – sur un mode plaisant, mais mineur – ce grand saut qualitatif de leur cinéma puisque cette fois, l’œuvre peut être regardée comme une version « détarantinoisée » de The Big Lebowski, tant au niveau de la mise en scène que du récit.
Chronique parisienne, tenue entre le 19 novembre et le 6 décembre 2008. Remarques et réflexions sur des films vus, et des films ratés.