Technique et technologie
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En contexteUN ENTRETIEN AVEC HILDEGARD WESTERKAMP
Entretien avec Hildegard Westerkamp, compositrice canadienne d’environnements sonores, auteure de Beneath the Forest Floor et The Doors of Perception, deux pièces qui se retrouvent dans les films Elephant et Last Days.
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Les nouveaux amphithéâtres de hockeyDispositif totalitaire de la publicité
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À propos de “Lyrical Nitrate” de Peter DelpeutRuines et temps du cinéma
Lyrisch nitraat propose un parcours réflexif sur la disparition d’un art (un art de la disparition) : disparition du cinéma des premiers temps, disparition à laquelle sont voués les films, disparition de ceux et celles qui ont laissé l’indice de leur présence devant la caméra, disparition d’une position spectatorielle.
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Disparition du Kodachrome
La fin d’une image hors du temps
Le Kodachrome offre une image claire, définie, richement colorée, une spécificité qui se distingue des autres types de pellicules, hors d’une notion de progrès, hors du temps. Et aujourd’hui, Kodak ne propose pas de le remplacer ou de l’améliorer, on le fait tout simplement disparaître, et c’est donc cela qui disparaît : une texture d’image qui échappait à l’histoire accélérée des règles du marché et du développement technique.
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Hommage à Jean Rouch (1917-2004)L’invention barbare
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Conversation avec Bill Morrison (2ème partie)
Matière et mémoire (II)
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Conversation avec Bill Morrison (1ère partie)Matière et mémoire (I)
Si Morrison a su s’imposer dans les dernières années comme l’un des cinéastes expérimentaux les plus importants de sa génération, c’est qu’il a su prendre acte, par le biais d’une véritable poétique de l’archive, de l’historicité non seulement du cinéma mais avant tout de ses supports et de ses modes de projection, en en explorant toutes les frontières.
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Les films de Bill MorrisonNotes sur l’imaginaire de la ruine au cinéma
“Ces image survivantes décloisonnent et déconstruisent le temps ordonné du récit, et se situent sur cette limite de lisibilité qui fait apparaître l’image en tant qu’image, entre indice et trace sans signification, entre une présence actualisée du passé et une énigme du temps. C’est de tout cela que se nourrit ce récit des ruines : un récit sans sujet, sans personnage à tout prendre, qui se compose, par fragments, à partir de l’événement de sa propre matière qui agonise, qui apparaît et s’évanouissant.”
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Les maîtres du simulacre
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Les médias ne parlent que d’eux-mêmes
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Dossier SnowEntrevues, entendues : une heure avec Michael Snow à Montréal
« J’ai réellement envie de faire des œuvres physiques, qui affectent le corps, de telle sorte que l’expérience est une véritable expérience, et n’engage pas seulement une saisie conceptuelle. »
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La plurivocité d’une visionL’art de Michael Snow
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La fin du film à l’Office National du Film
L’incrédulité des sens
Le médium possède des caractéristiques propres toujours susceptibles d’influer sur le type d’images qu’il engendre, l’intérêt et la valeur de ces images. C’était le sujet central du premier texte de ce dossier, analysé plus en détail par la comparaison entre les films amateurs tournés sur pellicule 8mm et ceux tournés en vidéo. La proposition étant que les particularités techniques du médium induisent certains gestes dans la manière de tourner les images et affectent le choix de filmer telle ou telle chose.
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Classe de maître avec Michael Snow
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