Quel effet produisent des images du passé en couleurs, pour des événements dont nous avons traditionnellement vu des films noir et blanc ? Pourquoi existe-t-il des films couleur de la Seconde Guerre mondiale, tournés par des soldats et leurs familles, alors qu’à l’époque, 90% des films que les gens allaient voir au cinéma étaient en noir et blanc ? Enfin, la couleur réduit-elle la distance émotive du spectateur des archives à la réalité du passé, à l’horreur de la guerre ?
Hors Champ présente trois classiques oubliés du NFB…
Nahanni (1962), Flash William (1978) et The Sword of the Lord (1976). Une occasion unique de découvrir ces films sur grand écran.
« Les médias assimilent sans doute leurs reportages sur les stratégies politiques aux principes d’objectivité : se contentant d’exposer les tactiques électorales, ils pensent alors s’absoudre de partis pris idéologiques. C’est cependant tout le contraire qui se produit… »
Brèves éditoriales sur les médias, de 2001 à 2004. Observation des faits significatifs, absurdes ou inquiétants qui se manifestent dans la culture des médias de masse. 1ÈRE PARTIE (2003-2004).
«…C’est exactement ce que je nomme la « vérité extatique », qui est au centre de mon travail. Très tôt, j’ai eu le sentiment que ce serait seulement par l’invention et la stylisation que je pourrais toucher la vérité profonde d’un personnage, même dans un documentaire…»