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  • Fahrenheit 9/11 : Moore, Orwell et Keynes

    Fahrenheit 9/11 : Moore, Orwell et Keynes

    par André-Michel Berthoux

  • La persévérance du critique
    Entretien avec Jean Douchet

    La persévérance du critique

    par Guillaume Lafleur

  • Conversation sur le métier de l'image
    Le « prix technique », Cannes 2004

    Conversation sur le métier de l’image

    par Caroline San Martin

  • Les deux Lumière : splendeurs et misères du cinéma
    Entretien avec André S. Labarthe

    Les deux Lumière : splendeurs et misères du cinéma

    par André Habib, et Guillaume Lafleur

    “Le cinéma, à mon sens, est mort en devenant un art de la maîtrise, dès le second film des frères Lumière. Le prolongement de cette forme morte de cinéma se trouve dans le virtuel. Le premier film des Frères Lumière quant à lui, se prolonge avec Rohmer, Kiarostami, les Straub et c’est une aventure folle.”

  • Raoul Ruiz (1941-2011) L'esprit de l'exode

    Raoul Ruiz (1941-2011) L’esprit de l’exode

    par André Habib, et Richard Bégin

    “L’esprit de l’exode, c’est le goût de la diversité. Il faut faire un parcours en traversant différents types de diversité jusqu’au point où on peut rentrer chez soi et trouver que c’est le pays le plus exotique.” (Ruiz)

    ——
    En hommage à cet immense cinéaste, Hors champ republie l’entretien qu’il nous avait accordée en 2004, lors de son passage au FFM.

  • Le retour de Kusturica
    La vie est un miracle

    Le retour de Kusturica

    par Nicolas Renaud

  • Hommage à Jean Rouch : caméra intouchable

    Hommage à Jean Rouch : caméra intouchable

    par Bob W. White

  • L'invention barbare
    Hommage à Jean Rouch (1917-2004)

    L’invention barbare

    par Philippe Despoix

  • Parcours d'un ethno-cinéaste
    Hommage à Jean Rouch (1917-2004)

    Parcours d’un ethno-cinéaste

    par André Habib, et François L’Écuyer

    Patiemment et avec un désordre exemplaire, Rouch fit du cinéma et pratiqua son métier d’anthropologue pendant près de 60 ans. L’un comme l’autre en portent aujourd’hui les traces…

  • Jean Rouch et l'office national du film

    Jean Rouch et l’office national du film

    par Vincent Bouchard

    Sans influencer directement la prise de parole des francophones au sein de l’ONF, Jean Rouch a participé à l’éclosion de l’équipe française en proposant une autre manière de concevoir le médium cinématographique. Il a permis à ces cinéastes d’approfondir l’exploration de pratiques légères synchrones. En prenant un peu de recul, on s’aperçoit que les réalisateurs canadiens inventent un pôle à part, entre le non-interventionnisme de Richard Leacock et la subjectivité partagée de Jean Rouch.

  • Chris Marker à la Cinémathèque québécoise

    CECI N’EST PAS UNE RÉTROSPECTIVE

    par Viva Paci

    “Marker, grand monteur de paroles et d’images, se livre à une pratique (tourner des plans, écrire des textes, trouver des fragments de pellicule, assembler et faire s’entrechoquer une image avec une autre, une image avec un commentaire) où il connaît par expérience ce qu’il nous mont®e. Son cinéma est fondé sur l’expérience vécue : multiforme, dictée par les choix de sa personnalité, ses intérêts et ses sentiments. C’est cette expérience qu’il cherche à transformer en film.”

  • Une esthétique de l'évidence
    Kaurismäki à la Cinémathèque québécoise

    Une esthétique de l’évidence

    par André Habib

    Dans tous les films de Kaurismaki, tout est simple, transparent, limpide, non problématique – rien de plus facile à suivre, comme film. Et pourtant, c’est un cinéma qui est toujours sur le fin fil de l’incongruïté la plus inouïe, de la banalité la plus complète, et qui rejoue très justement, avec l’ironie, l’humour, le cynisme le plus incisif, tous les enjeux du cinéma moderne, tout en retenant un style toujours personnel.

  • Conversation avec Bill Morrison (2ème partie)

    Matière et mémoire (II)

    par André Habib

  • Matière et mémoire (I)
    Conversation avec Bill Morrison (1ère partie)

    Matière et mémoire (I)

    par André Habib

    Si Morrison a su s’imposer dans les dernières années comme l’un des cinéastes expérimentaux les plus importants de sa génération, c’est qu’il a su prendre acte, par le biais d’une véritable poétique de l’archive, de l’historicité non seulement du cinéma mais avant tout de ses supports et de ses modes de projection, en en explorant toutes les frontières.

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