J’écris après. Alors que déjà se dissipe le souvenir de ces nuits projetées. Que s’émousse ce qui était encore il y a quelques jours, quelques heures, saillant dans la mémoire. La précision de certains rythmes, sensations, bruits, non décantée, revenait simplement. Il faut désormais faire un peu d’effort.
Réflexions sur la question de l’aura, de la destruction et de la reproductibilité numérique, à partir de l’ouvrage de Paolo Cherchi Usai, The Death of Cinema, et des pratiques de trois “cinéastes alchimistes”, Jürgen Reble, Louise Bourque et Karl Lemieux.