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  • ENTRETIEN AVEC JOANA HADJITHOMAS ET KHALIL JOREIGE (II)
    Lieux habités

    ENTRETIEN AVEC JOANA HADJITHOMAS ET KHALIL JOREIGE (II)

    par André Habib, et Serge Abiaad

  • ENTRETIEN AVEC BRUNO DUMONT (II)
    « Complexifier la mystique par la mécanique »

    ENTRETIEN AVEC BRUNO DUMONT (II)

    par André Habib, Gerard Grugeau, Serge Abiaad, et Philippe Gajan

    Entretien avec Bruno Dumont réalisé le 27 février 2010, à Montréal, dans le cadre de la rétrospective que lui consacrait les Rendez-vous du cinéma québécois.

  • ENTRETIEN AVEC BRUNO DUMONT (I)
    « Complexifier la mystique par la mécanique »

    ENTRETIEN AVEC BRUNO DUMONT (I)

    par André Habib, Gerard Grugeau, Serge Abiaad, et Philippe Gajan

    Entretien avec Bruno Dumont réalisé le 27 février 2010, dans le cadre de la rétrospective que lui consacraient les Rendez-vous du cinéma québécois.

  • FLASHBACK SUR LE FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM DE MONTRÉAL 1960-67
    Hors Champ et la Cinémathèque présentent

    FLASHBACK SUR LE FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM DE MONTRÉAL 1960-67

    par Antoine Godin

    Accompagnement à la programmation de la Cinémathèque québécoise en juin. De Jean Renoir à Colin Low en passant par Luis Buñuel, plus d’une vingtaine d’oeuvres seront projetées afin de souligner le cinquantième anniversaire de ce festival important dans l’histoire du cinéma québécois.

  • LE CINÉMA «BEAT» CHEZ CLAUDE JUTRA OU L'EXIL EN SOI
    À tout prendre

    LE CINÉMA «BEAT» CHEZ CLAUDE JUTRA OU L’EXIL EN SOI

    par Eric Fillion

    Peut-on parler de cinéma Beat en regardant À tout prendre? Cela est possible mais il faut d’abord accepter de sortir du cadre dans lequel le film est généralement présenté et ce afin de pouvoir mieux se situer.

  • QUELQUES RÉFLEXIONS SUR LE PROBLÈME DU GENRE
    Dossier “Western crépusculaire”

    QUELQUES RÉFLEXIONS SUR LE PROBLÈME DU GENRE

    par Pierre Barrette

    La question des genres, en littérature et au cinéma surtout, est un sujet âprement débattu. Depuis Aristote et sa célèbre poétique, en passant par Hegel et son application de la dialectique aux formes littéraires, jusqu’aux tergiversations sémantico-syntaxiques des sémioticiens, la notion est au cœur de tous les questionnements concernant la production, l’analyse et la réception des œuvres.

  • HIGH PLAINS DRIFTER, UN COW-BOY AU PAYS DES REVENANTS
    Dossier “Western crépusculaire”

    HIGH PLAINS DRIFTER, UN COW-BOY AU PAYS DES REVENANTS

    par Pierre Barrette

    High Plains Drifter est seulement le deuxième film de Clint Eastwood en tant que réalisateur, mais il force l’admiration tant il est maîtrisé ; et lorsqu’on le compare aux autres projets du célèbre californien à la même époque – des œuvres telles Play Misty for me, Breezy, The Eiger Sanction, moins achevées – on s’étonne même de ses nombreuses qualités.

  • QUAND TOMBENT LES ARBRES
    Dossier “Western crépusculaire”

    QUAND TOMBENT LES ARBRES

    par Mathieu Li-Goyette

    Cet arbre, ce héros, est notre ancre, celui qui permet d’organiser en réflexions concentriques la résolution de notre problème premier : comment est mort le western? À la façon du dévédéphile voyageur d’époques, nous y viendrons et y reviendrons avec un regard à chaque fois renouvelé.

  • PENSER LE TERRITOIRE
    La théorie du tout de Céline Baril

    PENSER LE TERRITOIRE

    par Diane Poitras

    L’intérêt de La théorie du tout tient à la fois de l’intelligence du discours et de sa mise en forme cinématographique. Car jamais ici la rigueur esthétique ne s’écrase devant le sérieux du propos. Pas plus qu’elle ne cède à une soi-disant efficacité du spectaculaire afin de convaincre.

  • LE "CRÉPUSCULAIRE"
    Dossier “Western crépusculaire”

    LE “CRÉPUSCULAIRE”

    par Jean-Louis Leutrat, et Suzanne Liandrat-Guigues

    Le western peut être considéré comme le récit d’une disparition. Cet article explore le thème du crépusculaire dans le western (film, littérature) tout comme les thèmes et les modalités (citations, références, acteurs) de ce qu’on a appelé le “western crépusculaire”, et qui signe la disparition ou la survivance paradoxale du genre.

  • MARLON BRANDO, COWBOY CRÉPUSCULAIRE
    Dossier “Western crépusculaire”

    MARLON BRANDO, COWBOY CRÉPUSCULAIRE

    par Robert Daudelin

    En 1960, Marlon Brando décide de passer derrière la caméra pour tourner ce qui sera son seul film en tant que réalisateur : One Eyed Jacks. À la fin de One Eyed Jacks, le héros, réconcilié avec lui-même, s’éloigne vers l’horizon sur son cheval avec l’espoir, un peu abusif, de retrouver sa fiancée au printemps pour la naissance de leur enfant. Cette fin romantique n’annonçait en rien le retour de Brando dans l’univers du western, dans la peau d’un tueur à gages, aussi mystérieux que sadique, pour les besoins du très beau (et très violent) western d’Arthur Penn The Missouri Breaks.

  • LE WESTERN CRÉPUSCULAIRE
    La fin des utopies?

    LE WESTERN CRÉPUSCULAIRE

    par Guilhem Caillard

    Accompagnement à la programmation de la Cinémathèque Québécoise en avril. Nouveaux regards sur le genre et ses mythes. Un parcours à travers dix-sept œuvres atypiques du western. Sam Peckinpah, Arthur Penn, Clint Eastwood, Michael Cimino…

  • DU CORPS QU'ON RÉNOVE À LA MAISON QUE L'ON BICHONNE
    Le corps comme propriété privée

    DU CORPS QU’ON RÉNOVE À LA MAISON QUE L’ON BICHONNE

    par Pierre Barrette

    La transformation qu’il s’apprête à subir est donc invariablement présentée comme la réparation d’une injustice. Le geste doit en être un de réappropriation d’une identité perdue ou jamais complètement assumée, et non comme l’expression d’un désir égoïste. L’équipe des spécialistes chargés de mettre en œuvre les diverses opérations est alors introduite, chacun pratiquant à l’écran son diagnostic et les actions qu’il s’apprête à prendre. Le sujet est ensuite complètement isolé de son milieu pour plusieurs semaines, période qui nous est présentée sous la forme d’un montage des transformations, invariablement ponctué par une série d’aveux prononcés par le « cobail » – à ce stade, il en vraiment toutes les apparences -, découragement et enthousiasme se succédant à mesure que son apparence se transforme.

  • LE DOUBLE DESTIN DE LA FICTION TÉLÉVISÉE (2)
    2ième partie: la part de l’innovation

    LE DOUBLE DESTIN DE LA FICTION TÉLÉVISÉE (2)

    par Pierre Barrette

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