« On arrête tout et on réfléchit », me suis-je dit en 2010. Ce n’était pas l’an 01, mais c’était tout comme dans le sens où j’avais pris la décision d’arrêter de battre les tambours et de prendre du recul vis-à-vis de la scène musicale montréalaise afin de poursuivre des études supérieures en histoire. En fondant Tenzier cette année-là, j’espérais maintenir un pied dans le concret, aux côtés de ceux et celles qui avaient été mes complices dans le champ de la création, en proposant un retour aux origines des avant-gardes québécoises par le truchement de l’archive sonore et visuelle.
VISIONS organise depuis six ans des séries de projections d’oeuvres cinématographiques et vidéographiques. À chaque événement que nous proposons, un.e artiste est présent.e, un public est présent. Car pour VISIONS, l’art cinématographique est d’abord un espace de rencontre – c’est un projecteur, ce sont des gens. Le cinéma est ce qui se produit autour – et non pas dans les images en mouvement. Il est le relais entre les images et le public – la friction entre le monologue de l’écran et le dialogue de ceux qui s’y confrontent.
Un texte présenté dans le cadre de la série CRITIQUES organisé et présenté par VISIONS, en collaboration avec Hors champ.
Ce texte est présenté dans la cadre de la série ÉMERGENCE, organisée et présentée par la lumière collective, en collaboration avec la revue Hors champ.
Un texte présenté dans le cadre de la série CRITIQUES organisé et présenté par VISIONS, en collaboration avec Hors champ.
Un texte présenté dans le cadre de la série CRITIQUES organisé et présenté par VISIONS, en collaboration avec Hors champ.
Un texte présenté dans le cadre de la série CRITIQUES organisé et présenté par VISIONS, en collaboration avec Hors champ.
Un texte présenté dans le cadre de la série CRITIQUES organisé et présenté par VISIONS, en collaboration avec Hors champ.
Un texte présenté dans le cadre de la série CRITIQUES organisé et présenté par VISIONS, en collaboration avec Hors champ.
«On peut admettre que, dans aucune littérature d’aucun temps, il n’y a eu un ouvrage aussi scandaleux, que nul n’a blessé plus profondément les sentiments et les pensées des hommes. Qui aujourd’hui oserait rivaliser de licence avec Sade? Oui, on peut le prétendre : nous tenons là l’œuvre la plus scandaleuse qui fut jamais écrite. N’est-ce pas un motif de nous en préoccuper?»
Un texte présenté dans le cadre de la série CRITIQUES organisé et présenté par VISIONS, en collaboration avec Hors champ.