«On peut admettre que, dans aucune littérature d’aucun temps, il n’y a eu un ouvrage aussi scandaleux, que nul n’a blessé plus profondément les sentiments et les pensées des hommes. Qui aujourd’hui oserait rivaliser de licence avec Sade? Oui, on peut le prétendre : nous tenons là l’œuvre la plus scandaleuse qui fut jamais écrite. N’est-ce pas un motif de nous en préoccuper?»
Autant y aller par la fin, par la dernière pierre de l’édifice d’images.