Un montage d’images qui tente de recomposer la trame des influences et des citations dans la récente trilogie de Gus Van Sant.
Entretien avec Hildegard Westerkamp, compositrice canadienne d’environnements sonores, auteure de Beneath the Forest Floor et The Doors of Perception, deux pièces qui se retrouvent dans les films Elephant et Last Days.
Analyse de Last Days de Gus Van Sant, et en particulier du traitement sonore de ce film.
En rendant possible cette répétition, cette intensité temporelle de la marche rend finalement possible ma consolation. Je me console : tant que ça répète, ça marche, ils sont sauvés, et chacun est sauvé par tous les autres, parce que le rythme de leur marche permet à chacun de contenir ou de rencontrer tous les autres (adagio sostenuto).
Bien évidemment, ce titre pourrait se prêter à l’ensemble des films de la trilogie de Gus Van Sant, mais nous nous concentrerons ici uniquement sur Gerry (2002). Premier volet de la trilogie, Gerry inaugure un changement radical dans la mise en scène du cinéaste.
Cet article aborde le problème de la présence des corps classiques dans les cinématographies modernes, à partir de My Own Private Idaho de Gus Van Sant.
En écho à la rétrospective que lui consacrait la Cinémathèque québécoise cet automne, Hors champ propose un dossier sur le cinéaste américain Gus Van Sant avec des analyses de My own private Idaho, Psycho, Gerry, Elephant, Last Days, ainsi qu’un entretien avec la compositrice canadienne Hildegard Westerkamp. À lire également dans ce numéro, un important dossier en hommage à Danièle Huillet, qui nous a quittés le 10 octobre dernier.