René Schérer, Lionel Soukaz et Gabriel Matzneff ont tressé, à l’invitation de Nicole Brenez, leurs interventions littéraires en partant de leur rencontre respective avec Pierre Clémenti, pour observer ensuite ses films, « lieux de rencontres » entre frères qui, s’ils se connaissent, en tout être chérissent autant le familier que l’inconnu, le méconnu et l’étranger.
Cet article aborde le problème de la présence des corps classiques dans les cinématographies modernes, à partir de My Own Private Idaho de Gus Van Sant.