Suite aux articles parus dans The Gazette les 12 et 17 novembre dernier ainsi qu’à l’éditorial paru dans ce même quotidien le 18 novembre mettant en cause les Rencontres internationales du documentaire de Montréal ainsi que les commissaires du programme de films documentaires iraniens aux RIDM, nous croyons impératif de devoir rectifier la situation, de dénoncer les mensonges qui ont été prononcés, et de répondre clairement aux attaques et insultes qui nous ont été adressées.
« …ce n’est pas en parlant de la mort qu’on en éprouve l’épreuve. Ce n’est pas non plus en martelant des phrases enguirlandées de qualificatifs et d’adverbes, que ce film trouve son efficacité, c’est plutôt quand il décide de se taire. »
La critique s’en est prise au FFM et à son directeur, mais personne n’est venu remettre en question le soutien que ce festival obtient de la part des institutions culturelles, privées et publiques.
Or, en se demandant ce qui permet à ce festival de tenir la route on verrait avec netteté se profiler les erreurs de formules, mais aussi les problèmes d’un système culturel plus grand qui le supporte et qui, lui, ne tient pas encore à voir le FFM disparaître.