… on a alors le sentiment de ne pas seulement découvrir un bon film, mais que notre perception fonctionne autrement. Au début on éprouve une sorte de désorientation. À la fin du film, une énigme persiste un moment sur ce qu’on vient de voir. Ce sont ces rares films qui en plus de…
Devant ce thème du geste cinématographique, une séquence m’est venue à l’esprit, avant toutes les autres. Une séquence d’Umberto D. de Vittorio De Sica (1952). Celle où le vieillard, réduit à la mendicité, tente d’avancer sa main auprès d’un passant mais ne peut se résoudre à recevoir la charité, et finit par retourner sa paume en levant les yeux, comme s’il guettait la pluie.
Analyse détaillée du film Cannibal Holocaust de Ruggero Deodato (1979) offrant une contextualisation politique, sociologique et mythologique.
Roberto Rossellini a placé un grand espoir dans la télévision comme mode de réflexion et comme moyen de transformer le monde. Cette table ronde, qui s’est tenue le 28 février 2008 à la Cinémathèque québécoise et à laquelle pris part Adriano Aprà, Elena Dagrada, Stefano Roncoroni et Viva Paci, aura été l’occasion de découvrir ses œuvres pour la télévision et de discuter du projet commun qui les sous-tend, celui d’une approche didactique et encyclopédique de l’histoire humaine.
Montage de textes, de citations, de photographies et de documents, en hommage à Danièle Huillet et Jean-Marie-Straub.