mos Gitaï nous convie avec Lullaby to my Father à une déambulation sur les traces du père. Ces traces prennent la forme d’archives que Gitaï articule en divers dispositifs qui permettent une reconstruction mémorielle où s’enchevêtrent l’histoire personnelle de Munio Weinraub, celle de l’architecture et celle d’Israël. Chacun de ces dispositifs constitue une tentative singulière de rappel du passé où les archives ont des présences diverses.
Analyse du plan-séquence d’ouverture du film Journal de campagne à la lumière de l’oeuvre de Gitai et de sa directrice photo / réalisatrice Nurith Aviv.
La fortune critique de Kippour (Amos Gitai, 2000) est liée au succès rencontré par une séquence en particulier. […] Sur les plans qui composent cette séquence, il semble que tout a été dit. Plus précisément, on constate qu’une interprétation du rapport de Gitai à la guerre de Kippour s’est imposée comme relevant du domaine de l’évidence. C’est précisément cette impression que cet article propose d’interroger.
Entretien avec Régine Robin (historienne et écrivaine) autour de Berlin-Jérusalem (Amos Gitai, 1989).
Réflexion qui tente de cerner la problématique de la réception du cinéma israélien en Europe, et notamment en France, où je travaille depuis une dizaine d’années.
Ce dossier dédié à Amos Gitai est issu de la volonté de poursuivre, sous une autre forme, le cycle d’études que nous avons consacré à ce réalisateur en 2015 (Université de Montréal).
Parcours en brèves de la 35e édition du FNC.