Levé tôt, je défais ma valise. Dans le plus petit compartiment, bric-à-brac de voyage : un roman (que je ne lirai que dans l’avion), ma caméra digitale et 2 adaptateurs de voyage (portable, téléphone). Ma trousse de médicaments (antiinflammatoires, antihistaminiques, antibiotiques, antiviraux, iodure de potassium) coincée entre une serviette (sans laquelle je ne me déplace jamais) et un pull en laine (qui sentira bientôt la cigarette).
Deuxième édition des Carnets de Hong Kong d’Ariel Estaban Cayer.