Voilà une note que j’ai écrite pour éclaircir mes positions en réponse à à l’invitation de présenter une conférence en janvier 2019 au microsalon à Paris. C’est le grand rendez-vous de l’Association française des directeurs de la photographie cinématographique.
J’aimerais écrire un petit livre, plaquette, étude, essai libre, sur l’attrait de la flaque au cinéma, avec un sous-titre bien sérieux comme : « Pour une esthétique du renversement ». J’en émets ici l’hypothèse, la très frêle et improbable ébauche, avec peut-être l’espoir que quelqu’un prenne la balle au bond et me donne un jour le plaisir d’en exposer le dessin complet.
Dossier visuel consacré à quelques “archives de la contestation” contre la direction de l’ONF, depuis 2000.
Pour accompagner la rétrospective des films de Lav Diaz à Montréal, nous nous sommes entretenus avec le cinéaste pour retracer les jalons de sa carrière, situer le contexte ainsi que les spécificités culturelles et géopolitiques de ce cinéma profondément de son temps, qui nous parle d’un autre temps.
Dossier établi par Nicolas Klotz, fruit de deux discussions entre les cinéastes bonifiées de trois splendides textes adressés à des oeuvres récentes de Lav Diaz, Norte, la fin de l’histoire (2013), From What is Before ? (2014) et The Women Who Left (2016) ainsi que d’une courte série de portraits du cinéaste philippin issue de la main de l’autre (et de son Hassleblad).
Le tout, initialement paru sur le site du magazine culturel français Transfuge, est aussi un avant-goût de la rencontre entre les cinéastes qui se tiendra devant public suite à la projection de [L’héroïque lande, la frontière brûle->https://cinemamoderne.ticketacces.net/fr/organisation/representations/index.cfm?EvenementID=175&refresh=1] (Nicolas Klotz, Elisabeth Perceval), le 30 juin prochain. La projection du film débutera à 12h45 et la conversation suivra dès 17h, au Cinéma Moderne (dans le cadre de la rétrospective Lav Diaz).