Le champ de vision du spectateur devient ce que l’artiste en fait; des visions de blanc, de neige (…) En ajout, Godard écrivait, au tout début de l’article auquel je réfère que “Si mettre en scène est un regard, monter est un battement de coeur”.
Le simple fait d’écrire sur les films de Stan Brakhage semble nécessiter un effort de conscience par crainte de tenir des propos parallèles aux films et non en continuité avec l’expérience unique qu’ils proposent, puisqu’il s’agit de ces oeuvres qui ne peuvent se saisir pleinement (et ne sont peut-être jamais saisies que partiellement) qu’au-delà d’une certaine limite que la critique, et même les mots , peuvent encore atteindre.