“ […] Il n’est pourtant pas douteux que le film d’Herzog, empli d’oiseaux peuplant le ciel aussi bien que sculptés (dans le bois) ou autrement figurés (Walter Steiner s’envolant), réitère, en sus de l’amalgame entre l’homme et le volatile éclopé (déséquilibré, le skieur s’écroule, dévale la pente en tourneboulant, sa tête cognant le sol gelé, avant de s’immobiliser sur le dos, bras écartés, knocked-out), la question de la raideur sinon de la rigidité du corps, ainsi que celle de la plaie (on voit notre homme, commotionné et ensanglanté après une chute sévère, recevoir les premiers soins).”