Les personnages n’agissent absolument plus, parce que les intensités existentielles qui étaient accrochées à leur corps sont maintenant rendues nôtres. La disparition diégétique n’est pas l’annonce de la fin du monde, mais la motion vers une autre réalité sensible que nous devons exprimer, rallumer à notre tour.
Un entretien avec Péter Forgács réalisé le 15 novembre 2006 à l’occasion de son passage à Montréal dans le cadre des 9e Rencontres internationales du documentaire de Montréal.