Les bêtes, comme les étudiants en sciences impures, ne savent pas se monnayer sur le marché. C’est l’humain qui sait ce que la bête vaut – pour l’humain. Peut-être faut-il cesser de dire “étudier en humanités”, et opter pour “étudier en bestialités”.
Dans Laurentie, le personnage principal se voit confronté à trois éléments: comment échapper à l’enfermement culturel, mais aussi à soi-même et à la banalité? Si les auteurs ont assez bien réussi à donner corps aux deux derniers éléments, ils ratent complètement la cible sur la question culturelle.