J’ai rencontré Jacques pour la première fois alors qu’il était caméraman pour un projet de film collectif issu d’une collaboration entre la coopérative de cinéastes indépendants Mainfilm et le cinéaste Boris Lehman. Au moment de lui remettre la pellicule, un membre de l’équipe lui avait lancé cette flèche : «À l’ONF, avec quatre bobines de film, je suppose que vous ne faites même pas une demi-journée de tournage».