J’étais réticente devant ces Histoire(s) du cinéma qui, bien honnêtement, me semblaient n’offrir qu’une insurmontable ascension ou, plus tétanisante encore, une mer sombre aux mouvements indiscernables, qui au mieux, terrifie, au pire, paralyse. Devant ce flot insaisissable, ce trop plein d’informations d’une hétérogénéité essoufflante, j’étais médusée.