…dans ce cinéma, toute narration quelle qu’elle soit, émane toujours des corps, de leur chair, de leurs déplacements au cœur d’un espace physique et d’un environnement social…
« “Celui qui fout la merde” est celui par lequel la vie arrive, vraie de la vérité d’une révolte qui s’abîme sans cesse, mais qui reprend ses gestes, ses attitudes, jusqu’à toucher au sublime d’une compréhension qui s’affirme au-delà de la violence.»